( 8 janvier, 2009 )

L’hypocondriaque

A ma cochonou, qui se reconnaîtra et sans qui ce texte n’aurait jamais vu le jour…emoticone

 

               Ouille… Je crois que je suis malade. J’ai du attraper un virus, je me sens tout bizarre, j’ai les poils des jambes qui se hérissent dès que je les regardent et les narines qui gonflent étrangement dès que j’inspire. Bon sang ! j’aurai pas du inviter Ngoma à ma dernière raclette ! Je suis sûr que c’est lui, oui lui, ce gouniafié,  qui m’as filé un germe inconnu de son pays natal… l’Islande, oui l’islande.. et alors ! il s’appelle en fait Söre N-Goma.  Bon Dieu de bon Dieu que Diable ai-je fait pour mériter ça ? moi ! Moi qui ne sors presque jamais ! Qui ne cotoye pas la populasse grouillante, pustulante et eternuante. On est mieux chez soi, d’ailleurs pourquoi sortir  quand la télé nous montre les choses qui se passent à l’extérieur. Au moins avec la télé, on est jamais seul et on attrape pas toutes sortes de saloperies gratuitement. On ne serre pas les mains, on ne se fait pas la bise, on ne nous postillonne pas dessus à longeur de journée. Du fond de notre canapé, on zappe les gens curieux ou on s’intrigue de leur sort. Tout cela est très distrayant.  Je ne sors que très rarement de chez moi, une fois par semaine et pour rien qu’une heure. Juste pour faire les courses… Vous pensiez que je sortais le chien ? Pourquoi sortir le chien quand on a pas de chien !!! voyons ! trop de poils ! de bave ! de pipi-caca et de vermines ! ceci dit, les chiens c’est mieux que les gosses, quand on leur lance un os à la tronche au moins eux le ramène alors qui les autres j’vous dit pas .  Donc avant d’être dérangé par ces mostres sur pattes, je vous disait donc que je sortais une heure par semaine pour faire les courses. Mon Dieu ! c’est vraiment le moment de la sainte semaine que je redoute le plus. Je suis dans l’obligation de me rendre au « Franprix » d’en bas. J’hésite souvent à y aller, quitte à crever d’une maladie, d’un virus divers ( aussi bien que d’hiver) où même se faire renverser par un chauffard fou.. oui ça existe… on peut etre chauffard et fou en même temps, bien que les fous sont rarement chauffards,  camisole oblige… donc nous disions avant d’être dérangés par les fous roulants qu’il vallait mieux crêver de faim chez soi que de crêver tout court chez personne. 

           Les amis, je suis vraiment inquiêt, ce peut-il que j’ai attrapé une maladie rare ? Voir orpheline ? Dont le seul remède se trouve être une plante magique cachée au fond de l’Amazonie qu’on ne découvrira que dans une centaine d’année ? Je sens que mes oreilles bourdonnent, mince, faut que je m’assoiasse ( oui avec un iasse !).. tiens et pourquoi pas devant la télé !  Elle était bonne cette raclette avec Söre et son épouse Sindri, des bon islandais bien de chez eux. Ce que j’apprécie chez ces gens la est que toute leur vie est conditionnée à basse température, et l’on sait bien, à basse température, les virus meurent. Mais en toute honneteté, de vous à moi, j’ai observé quelque chose d’étrange chez eux, ils n’ôtent jamais leurs chaussures de trappeurs même à l’heure de passer au lit. Bon ! vous me direz si les chaussures sont toujours fermées, il n’y a aucun risque que les maladies n’affectent les pieds.. je devrais en faire autant. Là n’est pas le débat, je sens que mes paupières s’écarquillent, je dois avoir les yeux qui veulent prendre congé de leurs orbites, Mince qu’ai-je donc pu attraper ? Une saloperie incurable j’en suis sur, je suis bien le genre, j’en ai chopé une il y a quelque jours, elle est partie d’elle-même, j’avais une protubérance à l’entre-jambe ,au fait, je m’étais rendu compte mais trop tard que j’avais salivé sur une naïade dans une série télé.  Les filles ? Moi ? allons donc ! vous déconnez !  elles portent à elles seules tous les symptomes du monde… Remarquez on ne sait jamais quand une fille se lave ou pas ! Elles sentent toujours bons, leur eau courante c’est souvent Dior ou Chanel ! Elles aiment s’assoir un peu n’importe où, ramenant comme imprimé sur leurs féssiers galbés moultes germes et infections. Et en sus ( si je puis me permettre) les filles ça aime les bisou ! Les embrassades ! Les accolades ! Les calins, les nuits d’amour pendant lesquels les corps se mélangent, se chevauchent, s’enlacent, se caressent, se réchauffent, transpirent et se désirent… vous vous rendez compte ? Une fille c’est un génocide permanent. J’en ai connu une, il y a quelques années, quand j’étais encore jeune et inconsciant, et oui, j’en ai connu une, je peux vous assurer que ça n’a pas duré. J’étais tout emballé, je l’emenais au cinéma, au resto, au parc etc.. et la voila qu’un jour, la donzelle positionne en face de mon visage deux lêvres tendues pointant sur ma bouche… Quelle horreur ! çut l’apparence d’un cœur mais en plus collant, plus baveux et plus vicieux. Quand je parle de lêvres, vous l’aurez compris, je parle de celles de la bouche… encore heureux. 

          J’ai peut etre attrapé le sida rien qu’à la proximité de ses lêvres tendues comme un étendard ou plutôt comme un éteau dard.. dard… ça doit etre ça, que j’ai chopé, le sida à cause de cette demie pouf en mal de sexualité. Les scientifiques disent que le sida se manifeste après un bout de temps, 40 ans, je pense que c’est bon, je suis mûr…Faut vite que je me prépares c’est peut etre pour ce soir, je sens mon cœur qui s’accelère, une mort du sida amplifiée par un infarctus précoce… bon sang de bon dieu.. qu’ai- je fait pour mériter ça !!! Faut que je me calme, faut que je me calme, tout va s’arranger, il y a bien des gens qui ont survécu au sida et plus encore à un infarctus, je vais m’en sortir. Tout est une question de volonté, c’est comme quand on fait un rêve faut juste ne pas y croire pour qu’il ne se réalise pas.. parcequ’en principe, il se dit, que quand on y croit, les rêves se réalisent toujours… Bon sang !!!! Hier soir j’ai révé que j’avais un énorme bouton de fièvre juste au creux de la bouche, j’y ai cru dur comme fer, meme que j’étais allé voir un médecin dans mon rêve tellement ce bouton était énorme, on se croyait comme dans la série « Stargate SG1 », j’avais un mini « Goaould » lové à l’interstice de mes lêvres, c’était comme si il luttait pour sortir de son cocoon, et moi je lui disait… mais sort bon sang de bon sang SORT!!! Ainsi le docteur l’avait nommé Herpès, charmant comme nom !Ne trouvez vous pas ! On aurait pu croire au nom d’une divinité Grèque ou Romaine… Comment t’appelles-tu ? … Her-pès… Bouton d’Her-pès… à ne pas confondre avec bouton de manchette qui serait quoi-que hors contexte cousu contre les lêvres humaines..certes me direz-vous que bon nombre d’entre nous en ont besoin.

         Ainsi, je me réveillais de ma torpeur, nageant dans une marre de sueur, me ruant devant mon miroir pour vérifier si le « Gouaould » était toujours présent. Ouf… ce n’était qu’un rêve… un cauchemar… mais j’y ai cru tellement fort, c’était tellement réel que depuis, même si je suis un mâle odorant, un vrai, quand je dois utiliser des toilettes publiques ( que dieu m’en préserve), j’essaie un maximum de léviter, pour éviter les éclaboussures qui vous souillent les orifices et les appendices. Et oui, c’est tout un  art de slalomer entre ces minuscules goutelettes qui gîclent et virevoltent des chiottes délabrées. Et si ce n’était qu’une question d’Herpès ! J’ai entendu parler, à la télé, d’une atrocité de la nature qu’on appelle Chlamydias Thrachomatis, semblerait-il qu’il n’y ait aucun rapport avec le célèbre peintre mais un rapport plus que certain avec des zones sensiblement érogènes et des méchantes bactéries bouffeuses de muqueuse sois disant responsables des maladies de Nicholas et  Favre. Mais bon sang !!! qui est ce «  Nicholas » et ce « Favre » ?… Ont-t-ils survécus ? Aussi quelle idée de donner son nom à des maladies sexuellement transmissibles ? Ces maladies ont-elles un air de famille avec les protagonistes ? Sont-ils proches parents ? Cousins par aliance ? L’oncle de la sœur du mari de la tante était-il bouffeur de muqueuse ?… grotesque… Pour résumer, cette maladie est aussi appéllée Mycose. Et une Mycose… c’est comme une épine dans les coucougniettes… douloureuse, démangeante, infectieuse et surtout impossible à s’en débarasser.  Comment vivre dans ce monde où tout est bactéries où même l’Ubac térrien, où les vrais méchants sont Microscopiques ? Le sont-ils vraiment ? Où est-ce notre société Macroscopique qui nous pousse à nous méfier de tout par le biais de la lucarne cathodique qui arbore aujourd’hui du plasma? Mes poils de jambes s’hérissent , Mes yeux se désorbitent et mes narines frétillent rien que d’y penser…  Il faut que je me soigne sinon je risque d’en devenir… malade…

 Damien NG

( 19 novembre, 2008 )

Hymne à la femme

Mesdames, Mesdemoiselles.Cette chronique vous est entièrement dédiée. Aujourd’hui, je vais vous rendre justice, je vais rentre à Cléopâtre ce qui appartient à Cléopâtre. Je vais me faire porte parole de vos compagnons passés, présents et futurs. Je vais vous dire ce que vous avez toujours voulu entendre au fond de vos cœurs, je vais vous dire tout ces mots que tant d’hommes n’ont pas su vous dire et certainement ne sauront jamais le faire. Je vais prêter mes mots à toutes ces romances dont vous étiez les seules à vivre et à décrire. Je vais me faire la voix des hommes qui n’ont jamais su vous exprimer leurs sentiments les plus sincères non pas par bêtise masculine ou par manque de tact mais simplement parce qu’ils ne sont que de pauvres hommes ignares de la chance de vous avoir à leur cotés. 

Mesdames, mesdemoiselles, je vous adresse par la présente, la lettre d’amour que vous méritiez depuis longtemps. Trop de jours, de mois, d’années, de décennies et de siècles se sont écoulés sans que vous ne sachiez à quel point nous les hommes avons besoin de vous. Aujourd’hui plus que jamais, dans un monde si dénué d’amour, de chaleur, de tendresse, de douceur, de lumière et de romantisme, vous être notre soutien le plus ferme et le plus essentiel, pourquoi taire et faire taire ce don des cieux que vous êtes pour nous les hommes.

Au nom de tous les hommes mesdames et mesdemoiselles, je vous dis merci d’exister, merci d’émerveiller nos vies jour après jour, ne demandant en retour qu’un amour légitime digne de la confiance que vous placez en nous. Je vous dis merci d’être toujours présentes dans nos moments de faiblesses et nos moments de peines. Merci de nous prêter vos doigts pour effacer nos larmes, d’être nos yeux quand nous ne pouvons voir, nos oreilles quand nous n’entendons plus raison, nos yeux quand nous nous refusons de voir, merci pour  votre peau quand nous avons froid et vos corps quand nous avons besoin d’amour. Sans vous les femmes, nous ne serions pas de ce monde, de l’utérus de nos mères au vagin de nos compagnes, votre corps est notre temple où nous demandons toujours asile.

Vous chères compagnes, vous chères âmes faites sœurs, embellissez nos  vies comme un bouquet de roses rouges fraichement cueillies aux aurores d’une belle journée de printemps. Vous qui nous accompagnez soirs après soirs dans nos draps, dans nos lits, dans nos rêves, n’imaginez pas un instant l’effet bienfaisant que vous exercez sur nos vies. De nos vies, vous êtes la meilleure amie, la meilleure confidente, la meilleure amante, la meilleure compagne et le meilleur destin. Pour devenir un grand homme, nous avons toujours besoin d’une illustre femme.

Je sais pertinemment qui nombre d’entre vous sont battues, délaissées, abandonnées trompées par de sombres canailles, des crétins sans fois ni loi et pour cela, je vous demande pardon. Pardon pour tous ceux qui n’ont jamais su vous aimer comme vous le méritez. Pardon pour tous ces hommes qui ont spolié le sexe masculin en vous contraignant aux sévices  les plus abjectes. Pardon pour tous ceux qui n’ont jamais su dire « je t’aime » et pardon pour tous ceux qui n’ont jamais compris l’importance de l’amour et la chaleur de vos bras.

Mesdames, mesdemoiselles, peu importe votre physique, peu importe votre âge, peu importe vos origines et peu importe votre langage, vos caresses sont les mêmes. Sous elles, tout fauve se fait chaton, tout loup se fait chiot et tout barbare se fait nourrisson.  Nous les hommes, sommes heureux que vous fassiez partie de nos vies, votre présence nous est primordiale, vous mères, sœurs, épouses, amantes, concubines, amies, parentes et correspondantes.

Mesdames, mesdemoiselles, sachez que derrière chaque homme se cache un enfant que seul votre amour peut faire grandir. Sachez que vos moindres sourires peuvent changer la vie d’un homme du tout au tout. Sachez que votre parfum est plus envoutant que le plus fort de tous les charmes. Votre silhouette seulement suffit à émoustiller tous nos sens, vos regards sont meurtriers et votre bouche, sertie de couleurs des plus attirantes, nous captivent nous pauvres hommes comme des abeilles imbues d’elles même.  Vos lèvres, sans même que vous ne vous en rendiez compte, nous parlent et nous séduisent, votre peau semblable à celle de la pêche nous rassure et nous fait découvrir des contrées jusque là inexplorées et encore sauvages où les monts, les forêts et les abris de pandore se cachent sous les voiles de la pudeur.

Mesdames, mesdemoiselles, encore une fois, merci d’exister, merci d’être vous, merci d’être pour nous, ces êtres si indispensables, ces âmes câlines que la vie dépose sur notre route, compagnes du hasard dans le malheur et dans le bonheur, fidèles à vous-même, fières et indomptables. Femmes d’un jour, femmes de…

Damien Ng                

( 4 septembre, 2008 )

Chronique de l’été

La cote d’azur est vraiment un bel endroit. J’y ai passé une quinzaine de jours et suis rentré samedi le premier septembre. Vraiment, quelle beau coin. Cette région offre à qui sait ouvrir l’œil… et le bon, des vues splendides, spectaculaires, merveilleuses, plongeantes et inimaginables.

      En effet, mon séjour y a été inoubliable, j’ai pu constater de mon propre chef qu’en ces lieux, se trouvent des perles de la création, des joyaux du ciel, oublier par le Seigneur lui-même alors qu’il créait le paradis. Ainsi j’ose même présumer qu’avant d’avoir créer le paradis, Dieu créa la cote d’azur. Nulle ne sait, peut être que Dieu façonna la cote d’azur pour avoir un patron avant de se lancer dans la genèse.
 
Non ! Non ! Je vous entends d’ici, vous pensez peut être que j’exagère mais en y songeant bien, tout ce qu’on rêver trouver au paradis, on le retrouve sur la cote d’azur, notamment un ciel des plus bleu, un soleil brûlant, un vent doux, des enfants faisant office de petits anges du Seigneurs et surtout, il faudrait avoir les yeux de Gilbert Montagné pour ne pas apercevoir cette ribambelle de Saints en veut-tu ? En voila ? Tellement ces derniers y sont présents on pourrait penser que Dieu s’est amusé à saupoudrer l’endroit comme on saupoudre de sucre glace un chouchou au chocolat…à croire qu’il avait peur de surpeupler son paradis ! (Avec un PIB de 20 petits cumulus nimbus à l’année, il avait tout intérêt à en virer quelques uns) et dans sa fourbe taquinerie, Dieu s’est empressé de les cacher sous l’homonyme Seins.
Et comme disait l’autre… un saint en vaut deux…
 
En effet, sur la cote d’Azur, on se sait a quel Saint se vouer (si je puis me le permettre). Il y en a partout, de toutes les tailles, de toutes les couleurs, de toutes les textures, de tous les ages, des plus dures aux plus molles, des plus fermes aux plus flasques, des plus dodues aux plus menues, des plus bombées aux plus flétries, des plus pointues aux plus timides et des plus fières aux plus novices. Et oui !  Sur la cote d’azur, des nichons en veut-tu ? En voila ! Jusqu’à plus soif (si je puis me le permettre). Quel plus beau spectacle que de voir se dandiner devant soi des jumelles qui ne demandent qu’à être matées.

     Ne vous en offusquez point mesdames. Ceci est loin d’être une critique de votre savoureux anatomie ni un reproche à ces merveilleuses protubérances qui rendent à Vénus ce qui appartient à Vénus… parfois de Mi l’eau et parfois de mi Lait (si je puis me le permettre). C’est juste un message de remerciement de la part de nous autres pauvres hommes fascinés par tant de beauté, de formes et de générosité. Merci de mettre à porté de regard tant d’intimité et de rapports in intentionnellement charnels. Comme dirait l’autre loin des yeux… près du cœur. Eh oui chers lecteurs, sur la cote d’azur, le cœur de ces charmantes créatures qui exhibent leurs atouts, comme pour faire fuir les mouettes, est profondément doux et accueillant. Je sais bien que le mistral souffle fort sur cette cote d’azur, et que l’air marin emplis nos poumons pour notre plus grand bien etre mais là franchement, en voyant ce spectacle unique, cette oeuvre de molière plus vraie que nature, nulle n’oserait plus prétendre:  » Cachez moi ce sein que.. »mais plutot…  » Quels poumons que voici!! Quels poumons!! 

      La plage méditerranéenne est comme un grand restaurant, la carte est des plus complète, ainsi on y trouve de la poitrine au monoï, des escalopes de dinde braisées, du steak de thon au sel de mer, du jarret de veau à la crème,  du filet de morue sur son lit de petits poils, tartare de baleines échouées, morces servi sur serviette saillante ou même rascasses à la sauce du jour. Il est rare mais ça arrive aussi de trouver des sirènes archi fraîches à déguster selon humeur. Bien sur le tout dépend de l’arrivage du jour.
   Comme chez nos amies gallinacés, force est de constater que chez nos très chères compagnes, le meilleur reste bel et bien le blanc.
Hors sur la plage méditerranéenne, les blancs en question ont adopté un bronzage alléchant, pour vous le figurer, rien de mieux que cette citation de votre serviteur… La poule est au four ce que le nichon est au soleil.
Messieurs, n’allez surtout pas enfourner votre douce moitié si vous lui trouvez la poitraille un peu trop pallaude…vous irez au devant de graves problèmes… payez lui plutôt des vacances dans le sud… nous en seront tous très heureux.
 

         Mesdames quant à vous, allez y, lachez vous, continuez de nous surprendre, chatouillez nous les sens, éblouissez nous, vous avez tant de choses à « dé » couvrir que nous à découvrir. Que nous puissions enfin, encore et sans nous lasser de vous toucher … des yeux.
 Et pour conclure un conseil à toutes celles qui n’osent pas, qui vivent dans l’ombre du soutient gorge, qui se cachent derrière le rideau de la pudeur… faites comme nous les hommes, le bas se suffit à lui même, on est tellement plus libre de nos mouvements, sans tout ce stresse en plus, ces tissus super flux qui vous ligotent les mamelles, les tiennent en otage, les ôtes du panorama (dans les 2 sens du terme si je puis me le permettre) et surtout qui dessinent sur vos si beaux corps ces rayures blanches inutiles. 

     
Voila, j’ai dit ce que j’avais dire, comme diraient nos amis anglicistes… sweet is thy beauty… around thee we gather…  Chronique de l'été  dans Chroniques clear

 

                                                                                                                                     Damien Ng

( 15 juillet, 2008 )

Clin d’oeil à la Marseillaise

La Marseillaise, cet hymne dite nationale, mondialement connue, étandard de la france lors des championnats sportifs, des journées de commémorations, des fetes champètres et cent mille fois ré-entendue chantée par les petits écoliers en une cacophonie à l’unison lors de la Fete Nationale est (avouons le) aussi fameuse sur son sol natal que n’est la chansonette  » il pleut… il pleut… Bergère », ou encore la chanson sans aucun sense  » il est vraiment.. il est vraiment.. phénoménal.. il mériteait.. il mériterait… d’etre en final! » ou meme  » I will survive ».

Tout comme pour ces dernières, les chanteurs en herbe, les hommes politiques, les sportifs, et tout le reste de la nation, la vox populi ne s’élève que pour le premier couplet et le premier refrain. En effet, mémoriser 7 couplets et le meme nombre de refrains n’est pas donné à tout le monde.

Il est essentiel de se rapeler que la Marseilleise fut composée et rédigée par Monsieur Claude Joseph Rouget de Lisle en l’an de grace 1792, si je voulais etre plus pervert, je vous informerait qu’elle fut ecrite le 25 avril de cette meme année à 4 heuures 30 du matin.  Mais qui est donc ce Joseph Rouget? nul ne le sait,mais pour avoir écrit cette chanson à 4heures du matin, je pense que ce monsieur Rouget de Lisle devais etre, à cette heure fort honorable… un peu trop rougeaud de lislequeur (si je puis me permettre).

Bref, notre Rouget de L’isle un peu rougeaud aux aurores écrivit la Marseilleise, sous son titre original « Chant de guerre de l’Armée du Rhin »… Bien.
En tout cas, pour avoir une telle inspiration à l’époque où les extas n’éxistaient pas encore, nous pouvons déduire que Monsieur Rouget de Lisle ne carburait pas au petit lait, de meme qu’à la lecture du titre de sa prose, on peut meme dire qui’il fut membre de « l’Armée du Foie »… dont souvenons nous, le chant de Guerre était « Tous en guerre contre la syrose ». Non Non n’ayez crainte amis lecteurs, Monsieur de Lisle n’avait pas perdu la tete. Alors qu’a cette meme époque, certains de ses comtemporains perdaient les leurs sous les applaudissements de la foule en délire. Ahhh ces Français… comme dirait l’autre.. ahhh c’est français.

Et oui!!, ici, en france, le bon Gaulois applaudit de tout et se réjouit d’un rien. Donc amis français, réjouissons nous, abreuvons les sillons de vins et de victuailles des plus rocambolesques dont vous seuls avez le secret.

Revenons à ce cher Monsieur de Rouget de Lisle dont personne n’a jamais entendu parler, cet etre téméraire qui pensait encore que le monde appartenait aux levants tot, ce poete qui a transcendé le temps par le sens patriotique de son verbe. Je puis l’avouer sans honte les amis, j’ai lu tout le texte de la marseillaise, non pas que j’us du temps à perdre mais plutot titillé par l’envie de me rendre compte en quoi ces paroles correspondent et adhèrent à l’idéologie française. 

Pour résumer le tout, prenez Hitler, faites le coppuler avec Mao, ajoutez y une pincée de masochisme, un soupçon de barbarie, prenez un cheveux d’Heindich Himmler et mixez le tout dans le shaker de la mort pour obtenir une belle Marseilleise toute chaude. Pour la lire (avis aux patriotes téméraires) : http://en.wikipedia.org/wiki/La_Marseillaise

Ce texte « d’un sexisme latent » comme disait M.Portalis est pour ma part l’exemple meme de l’hymne militarisante. Pourquoi Marseillaise? quele titre absurde, le pastis c’est bon, mais en abuser vous fait ecrire tout et n’importe quoi. Il est Inoui de constater qu’en France, le pays (soit dit en passant) de la liberté, de l’égalité et de la fraternité, des droits universels, de ceux de l’homme et de sa compagne, le chant symbole est un hymne aux képis et aux fusils à baillonettes, menaçant « Des cohortes étrangères« , « Des phalanges mercenaires » et  » Des transports qu’il doit exciter« . Bon plait-il très cher Rouget que nous mettions les points sur les ziles, Soyons clairs Mossieur Rouget de Lisle ( oui avec 2 zess), qui sont ces cohordes étrangères que tu mentionnes ainsi, sont-ce des africains ou des arabes? ou meme des Mauriciens? fraichement immigrés en france, si tel est le cas mon cher, t’es pas encore sorti le l’auberge…. Et qui sont ces phalanges mercenaires dont tu parles avec tant de fougue et d’allégresse? Parles-tu des tenants des merceries juives au Marais? apprends très cher que sans boutons, fils, aiguilles et pelottes de laine, aucune couture n’aurait été possible, étais tu l’aieul d’Heinrich Himmler? Et pourquoi parles tu de transport à exiter… mais voyons, ne sait tu point que ça fait un bail que plus personne n’éxite la SNCF ou meme n’est éxité par elle! Comme disait l’autre,  un corail dans pied ça fait mal… un tgv dans le cul et t’auras tout vu!.

Chers amis français et françaises, révéillons nous, ne vivons plus sous le poids d’un tel hymne, ne prononçons plus ces infames paroles qui parlent de mort et de haine, paroles qu’ils ont obligé, qu’on oblige et qu’on obligera vos progénitures à proférer dans les cours de récréations années après années. Changeons cela, demandons aux autorités de mettre un terme à ces appels guerriers. Français, Françaises, vous reconnaissez vous derrières ces paroles?Ssavez vous où exactement se trouvent ces campagnes tant louées? Ces sillons ayant sans cesse besoin d’etre abreuvées? Rabaissons cet étandard sanglant, dont le sans a du coaguler depuis des lustres! Contrez vous de la tyrannie d’un tel acte de violence à portée de vos enfants. Levez vos bras vengeur, disons non! haut et fort! à ces paroles genocidaires! (pour ne pas dire génocidrices)

Pourquoi bon dieu, ne font-ils pas un hyme neuf, dans lequel tout un chacun se complairait, se reconnaitrait, s’identifierait et le clamerait sans aucune honte, sans aucune gène, fier d’etre français et leurs épouses. Prenez comme exemple… moi, qui suis immigré Mauricien (dans la légalité, précisons le) en france, je ne me reconnais pas dans l’hymne actuel et pourtant, j’étudies ici, j’habite ici, je travaille ici, j’ai une vie associative ici, je mange du fromage, des moules, des cuisses de grenouilles, de l’andouille, des ratatouilles et ai meme bu un St Emilion grand cru classe 68. Que vous faut-il d’autres? que je me promène l’été sur certaines plages du Cap d’Agde avec mon capital au vent?

Soyons prompt, vous vous dites certainement que j’ai la critique facile et le trop de fiel pour m’attaquer à une telle institution qu’est « Le chant de Guerre de l’Armée du Rhin ». Certe Fiel s’en faut, c’est pour cela que suite à mes critiques, je propose la solution suivante.

Chers vous, oui vous! qui vous vous occupez des textes de chansons nationaux etc etc !!!!!!

Je vous ai préparé un texte de ma composition m’allant parfaitement. Je pense que bon nombre de français de base se reconnaitront et seront fier de la chantonner au stade de france pour la prochaine rencontre en finale France – Brésil… et au lieu de vanter des sillons imaginaires, ils feront honneur à leur patrie en fredonnant ces paroles fraichement sortie de leur subconscient par le biais de ma plume.

Imaginez la mélodie de la marseillaise dans vtre esprit  et entonnez ces quelques paroles, vous vous sentirez mieux…

couplet

Allons au fond de la flatterie
La tete de poire est arrivée
Entre nous où sont les toilettes?
J’ai mon dard tremblant qu’est levé
J’ai mon dard qui m’demande à pisser
Sinon jte montre mes baballes
Rougir de féroces sparadraps
L’hygiène, c’est jusque sous les bras
Des mycose je m’en fout pas mal 

refrain

Dis moi! où sont les chiottes?
Evites! les postillons
Matte mon! matte mon!
Slip… qui est impure
ou j’approche de ton sillon
Ta da da.

  

                                                                                                                          Damien NG

( 13 janvier, 2008 )

Pour quelques kilos de plus

Chers ami(e)s,

Notre société fait aujourd’hui face à un certain problème, certes un problème plus que certain qui touche chacun de nous. Il s’agit d’un phénomène de société au cœur de l’actualité dont la portée philosophique, esthétique et  morale pousse chaque individu dans ses retranchements les plus profonds. Je souhaite m’exprimer sur ce sujet qui crée bon nombre de frustrations, dont la cible préférée reste bien les femmes. Cet énorme sujet (si je puis utiliser cet adjectif), si épais, si flasque, si lourd de conséquence, si mou, si pendant et pourtant si rond, est bel et bien : le poids.

Le poids…  quel horreur !  Je ne parle pas de petit pois, ni même de pois chiches mais de poids, celui qui pèse (sur la conscience, sur la balance et sur les mocassins bien trop fragiles pour le supporter). Et oui, ce poids, grande énigme du 21ème siècle est sujet tabou dans les chaumières, ainsi il ne serait pas convenable de parler poids pendant un diner de noël ou même au moment du déjeuner de la St Valentin. En effet il ne serait certes pas de bon ton de pondre une phrase comme : « Tiens chérie, tu ferais mieux de ne pas reprendre de la dinde, ton ventre dépasse ! » ou même « Non non ! Pas de chocolat cette année ma puce, celui de l’an dernier n’est pas encore digéré on dirait ! ».

                Qui n’a jamais vécu le drame de se voir souffrir d’un ou de deux kilos en plus en se penchant sur son pèse personne ? Qui n’a jamais découvert avec effroi un nouveau né entre l’aisselle et la hanche ? Le poids est bel et bien l’ennemi public numéro un à abattre enfin… à faire fondre. Où trouver le courage de faire un footing, où trouver la force de se rendre au club de fitness, où dépenser son énergie ? Les salles de gym coutent les yeux de la tête, pour faire un footing on à jamais de bonnes chaussures, concernant la motivation, il y a toujours mieux à faire ! Faire l’amour fait-il perdre du poids ? Personnellement je ne pense pas, ce serait même le contraire si jamais la pilule est passée de « travers » où que la capote ait fait « faux bond », déjà avec 2 kilos en plus dans le popotin, se retrouver 9 mois en cloque serait un comble.

De nos jours, à l’ère où la beauté est synonyme de maigreur, de légèreté, de souplesse, de fermeté et de finesse, nos amis les gros eux se font royalement bien chier. En effet, le fait d’être gros à toujours une connotation malsaine dans l’esprit de ceux qui ne le sont pas. Ainsi, il en va de même pour les nains, les roux, les poilus, les bigleux, les boutonneux et les bouches en cul de poule. Au cours des conversations, on évite toujours de justesse l’hécatombe en utilisant un mot malheureux ou une phrase anodine mais pouvant avoir un sens assassin.  Laissons ces personne vivre en êtres humains qu’ils sont, ne les mettons pas à l’index (enfin mettons y seulement les plus mignonnes).

J’ai récemment appris qu’il existe un moyen efficace de maigrir quand on est gros. En disant « gros », je veux dire « vraiment  gros » et que ce moyen est simplement de se faire mettre un anneau gastrique. Honnêtement, je déteste le terme « se faire mettre » mais dans ce cas précis, il est de mise, donc on se fait mettre un joli anneau gastrique, qui ralenti la digestion et qui diminue la capacité à ingurgiter de la boustifaille.   Mais enfin, que Dieu se faire mettre un anneau, déjà qu’au doigt ça ne fait que faire grossir, alors la, le foutre carrément sur le gros colon je ne dis même pas les effets. Trêve de plaisanterie, j’ai une amie qui, pour ainsi dire, grâce à son anneau ventral, a perdu plus de 40 kilos. Vous vous imaginez ? 40 kilos ! Si moi j’en perdais autant, j’irai pas bien loin avec mes 10 kilos restant.

  

La semaine dernière sur mon écran cathodique, j’ai été bien malgré moi, le témoin d’un débat dont la thématique était : « Trouve-t-on les grosses belles ? ». Ce débat animé par un certain Monsieur De Larue (homme n’étant pas à son premier larcin), consistait à mettre en opposition deux avis divergent concernant les femmes bien en chair. D’un coté, les grosses qui l’assument, de l’autre, les grosses qui s’habillent en noir et au milieu les mecs. Ça tranchait a mort, si je puis utiliser ce terme. Chez les  grosses qui s’assumaient leurs formes généreuses étaient trahies par des propos péripathiétques et chez les grosses en noir, leurs yeux timides trahissaient un réel mal être et pour couronner le tout, question aux mecs « Trouvez-vous les grosses belles ». Comment peut ton mettre sous les feux des projecteurs, dans l’arène publique des propos et des problèmes de cette sorte. Mais voyons, l’arène pudique ne cloisonne-t-elle pas ce genre de propos inutiles. Mais de grâce, laissez les grosse tranquilles, et vous les grosses, assumez que vous l’êtes sans avoir à passer devant des caméras de télés poubelles. Aimer manger n’est pas un pécher en soi. Bien au contraire, c’est  la clé de la santé.  Vous vous trouvez trop rondes, d’accord, faites un léger régime à base de légumes et de yaourt.  Oubliez les produits 0% car comme leur nom l’indique leur effet est de 0 %. Oubliez les liposuceurs dont la seule chose qu’ils sucent vraiment est votre argent si durement gagné.  Soyez vous-même et sublimez votre entourage.

Pour répondre à la problématique « Trouve-t-on les grosses belles ? », la réponse est oui, si elles ne sont ni faciles, ni des épaves, ni des gastrophiles sur pattes, ni des péri polyvalentes, ni huitres, ni perdues dans leur univers à revers…. Bref mesdemoiselles, oui si vous êtes des filles normales, certes avec quelques formes plus que généreuses à offrir, nous vous trouverons belles.

                                                                                                               Damien Ng

( 15 juillet, 2007 )

Du pain et des jeux

Hier, le 14 juillet, jour de la fête nationale française, j’ai été interpelé par un évènement des plus étrange et des plus sordide qui puisse exister dans notre civilisation contemporaine. En effet, je me suis apperçu que de nos jours, les moeurs de l’humanité n’ont pas changés et ce depuis l’époque « gréco-romaine » (1653 av jc – 463 ap jc ) en matière de divertissement et de salut public.
« Le pain et les jeux » ont toujours portés leurs fruits en matière de réussites politiques. « Donnez leur ce qu’ils veulent et je ferai selon mon gré » disait Caius Octave en parlant des Huns. Aujourd’hui, le meme cliché est récopié. Les personnes changent mais les principes restent. 

        Ainsi le jour de la fete nationale française, sensée symboliser l’égalité pour tous, la liberté de tout un chacun et la fraternité des citoyens, l’impulsion politique à crée une situation de gavage des foules par un produit sùr mais certes avarié.

Le divertissement public, récompense fondamentale dispensée par le vainceur d’une joute politique nouvellement terminée, a été lors de ce 14 juillet 2007 intronisé par un second concert come back de Michel Polnareff, chanteur à succès des années 60-70. Ce concert, servi par Monsieur Sarkozy sur un plateau taillé comme le Champ de Mars et respirant la sueur de plus de neuf cent cinquante mille ames, peut etre considéré comme un vrai flop, une vrai catastrophe. Michel Polnareff aujourd’hui agé d’une soixantaine d’années, est apparu sur scène avec un lard bien pendant par dessus sa ceinture, une chevelure blonde trop délavée taillée en touffe jardinière et surtout surtout des habits de « country boy » bleu ciel (jeans et chemise texanne) heureusement qu’il chantait pour une énième fois ses memes chansons réchauffées et pourtait pour le meme nombre de fois ses memes lunettes blanches d’antan… sinon on ne l’aurait certes pas reconnu… çaurai été problematique.

Plus sérieusement, ne tombons pas dans des critiques inutiles, nous savons tous que l’age et l’inertie affectent grandement l’image et les capacité de tout individu, mais là, dans ce cas précis, on est en droit de se demander comment un état, un pays, une nation, la 5eme puissance mondiale se permet de laisser l’animation du concert de la fete Nationale entre les mains d’un vieux chicot de ce genre. Tout le charme de ce chanteur était de rester mystérieux, abstrait, mi pourpre/mi feutré, mais là, avec un come back aussi boiteux,le pauvre Michel à perdu toute crédibilité, en arborant un ramage  »weird » comme le dirait ses nouveaux compatriotes et une voix terne, le pauvre vieux à fait dans la meilleure de ses capacités actuelles, pour ainsi dire… le néant le plus absolu.

En parlant de « ses compatriotes », force est de constater que Michel Polnareff a vécu un exil volontaire de plus d’une trentaine d’années aux Etats Unis, rendez vous compte!!! Ce merveilleux blondinet à bel et bien abandonné sa patrie pendant trois décennies entières. Des générations ont eues le temps de naitre et de grandir pendant tout ce temps. Après ces trente années de désertion, voila notre bonhomme de retour en france pour une série de Bercys en mars 2007 et suite à cela, le voici acclamé comme le fut le général de Gaulle le 14 juillet 67… sur le meme champ de Mars. La différence. … De Gaulle à résidé en france, payait ses impots comme tout un chacun, avait des lunettes mais uniquement parcequ’il ne voyait pas bien et à aussi été le seul des 2 à avoir le bon sense et la jujotte de chanter l’Hyme National le jour de la Fete Nationale.

Alors n’est-ce pas le cliché type de pains et de jeux donnés en pature à un peuple avide de plaisir futile et sans aucun sense logique dans aucun contexte particulier. Au pays de Pasteur et de Descates les règles de la logique suivent une courbe décroissante, les priorités se perdent et les valeurs se fanent.

Du pain et des jeux pour contenter ce peuple insatiable qui ne se nourri que de reves et de paillettes, oubliant que le 14 juillet d’il ya pres de 3 siècles, des hommes furent décapités, emprisonnés, empalés, mis en exile pour qu’aujourd’hui, un michel polnareff ridé comme un mouchoir froissé pousse la chansonette de sa voix endormie sur l’une des plus belles place du monde devant un des plus grands publics jamais rassemblé.

Du pain et des jeux dans Chroniques clear
                                                                                                                              Damien Ng

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